Septembre 2017, la tension est palpable. Pas un jour ne se passe sans que les journaux ne relèvent les altercations entre Kim Jong-Un et Donald Trump sur Twitter et leurs possibles conséquences. Je me suis dit que le timing serait idéal pour partir faire un essai photographique dans les rues de la capitale nord coréenne.
La Corée du Nord, c'est une dizaine de milliers de touristes annuels assez braves ou curieux pour s'y rendre et des bribes d'informations sorties d'agences gouvernementales ou de presse.
Poussé par ma curiosité, je souhaitais par moi même voir ce qui se cache derrière le rideau.
"Se balader" dans les rue de Pyongyang donne l'impression de descendre un couloir de portes closes. J'aurais voulu photographier au travers des trous de serrures si cela avait été permis. Après quelques jours à suivre mes guides de musées en parcs d'attractions, à honorer comme il se doit les monuments à la gloire de leurs leaders, tout ce qu'il me reste ce sont quelques photographies, et bien plus encore de questions...
La Corée du Nord, c'est une dizaine de milliers de touristes annuels assez braves ou curieux pour s'y rendre et des bribes d'informations sorties d'agences gouvernementales ou de presse.
Poussé par ma curiosité, je souhaitais par moi même voir ce qui se cache derrière le rideau.
"Se balader" dans les rue de Pyongyang donne l'impression de descendre un couloir de portes closes. J'aurais voulu photographier au travers des trous de serrures si cela avait été permis. Après quelques jours à suivre mes guides de musées en parcs d'attractions, à honorer comme il se doit les monuments à la gloire de leurs leaders, tout ce qu'il me reste ce sont quelques photographies, et bien plus encore de questions...
Septembre 2017, Pyongyang, Corée du Nord